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Essai de trois engrais organiques d’origine vegetale sur la culture de chou de chine dans le sol sablo-limoneux
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Par
Tshimanga Dikebele Joseph, Ndambuyi Lubadi Damas, Mayembe Mayara Michel
Résumé
Après avoir expérimenté la culture de chou de chine avec trois engrais à savoir : Tithonia divesifolia, Chromolaéna odorata et Ordure ménagère sur un sol sablo-limoneux, nous avons conqtaté que la moyenne des feuilles varie entre 14 et 22, et la différence concernant la moyenne de nombre de feuille n’est pas significative, c-à-d, le nombre des feuilles est le même pour chaque plante.
Par ailleurs, la différence de la taille des feuilles se fait remarquer chez les feuilles ayant subis un traitement par rapport à celles qui n’ont pas été traité. En conclusion, nous pensons que les plantes ayant subies un traitement ont un rendement supérieur par rapport à celle qui n’ont pas été traitées.
Ainsi, nous conseillons aux paysans et agriculteurs qui aiment cultiver le chou de Chine que, il serait mieux d’utiliser le Tithonia diversifolia qui marque la différence sur la taille et le poids. Et aussi tenir compte du sol (surtout le sol sablo-limoneux) accompagné d’arrosage régulier.
L’origine de chou de Chine n’est pas connue on suggère qu’il s’agissait de la zone tendait de l’Est de la méditerranée au Pakistan et à la Chine Orientale. A l’époque, il a fait l’objet d’une description à la période d’Alexandre le grand.
A partir de là, nous estimons qu’il s’est rependu en Asie du Sud-Est et en Afrique au travers les routes empruntées pour le commerce. Pour la grande variabilité chez le chou Chinois, l’ensemble porte le nom de choux Orientaux.
Par ailleurs, dans des nombreux pays, la culture du chou chinois comme légumes est douteuse pour qu’on pense à son existence. Toutefois, on peut la rencontrer dans certains milieux comme en République Démocratique du Congo et au Cameroun (Delannoyg, 2002).
Sa taxonomie est douteuse. Beaucoup de classifications des formes spontanées ont été proposées. Chacune tenant de se saisir en un système taxonomique unique qui est la très large variabilité de taxon cultivée. Mais le résultat n’a jamais été satisfaisant (Mumba Djamba, 2009).
Le chou de Chine et retrouvable dans certains endroits septentrionaux du continent d’Afrique australe entre autres la Zambi et en Afrique Centrale précisément dans notre Pays République Démocratique du Congo et au Pays voisin comme Congo-Brazzaville dont il est cultivé de manière traditionnelle dans de jardin de case.
Cette plante est surtout cultivée dans le Congo Centre souvent dans des pépinières élevées. Elle supporte une large variété des sols selon que les sols riches qui retiennent l’humidité meilleure, pour se développer, elle exige une température peu élevée.
Il est souhaité de cultiver cette plante dans des régions à basse altitude pendant la saison sèche et fraiche avec irrigation ou dans des régions à altitude supérieure à 500 m.
Sa surface foliaire est importante et l’approvisionnement en eau doit être régulier, les meilleurs résultats doivent s’obtenir que dans le sol riche en matières organiques.
Pour semer le chou, on commence d’abord en pépinière ; une fois que les vraies feuilles apparaissent c’est-à-dire 5 à 6 vraies feuilles, on passe ensuite au repiquage. Cet exercice se fait à 30 cm d’écartement et les interlignes sont distantes de 40 cm.
Ou encore 25 à 30 jours après le semi, on fait repiquage toute en respectant l’écartement et les interlignes. Il faut enterrer les plantules jusqu’au niveau des premières vraies feuilles.
Les traitements phytosanitaires doivent être réguliers sur la culture. Son entretien est essentiellement les sarclo-binage ou desherbages. Surtout pour s’attendre à un bon résultat, on demande d’introduire la fumure organique de l’ordre de 20 à 30 t/ha à la période de préparation du sol et avec des engrais minéraux de proportion NPK.
Les fumures organiques seront divisées en fumures de fond (40%N,100%P, et 40% de K) et fumure de couverture 20 et 35 jours après le repiquage.
Ne mettez pas excessivement l’azote pour éviter l’augmentation de pourriture interne, mais veuillez à ce qu’il n’y ait pas carence de potasse. L’absence de ces derniers engrais se manifeste par la nécrose marginale des feuilles ; quant à la potasse, il le supporte difficilement à la dose importante (Koji, 2015).
Concernant la récolte, elle doit débuter de 50 à 60 jours du semi à la récolte. Lorsque les feuilles sont arrivées à la maturité avec le développement suffisant ; il est recommandé de réserver 3 à 4 feuilles. (Raemaekero 1989).
Le rendement moyen en feuilles vertes peut varier de 10 à 30 t/ha en fonction des conditions agro écologiques des techniques, de culture, du matériel végétal utilisé et des contraintes.
On n’a fait aucun travail de sélection spécifique pour le chou surtout en ce qui concerne son adaptation aux conditions tropicales.
Il existe une grande diversité de cultivars qui se distinguent notamment par la taille de plantes, leur adaptation à la chaleur et les caractéristiques des feuillages. Les cultivars utilisés en Afrique Tropicale proviennent à la fois de semences importées et des graines produits localement (Mumba Djamba, 2005).
La partie comestible du chou représente environ 68% du poids total frais. Pour 100g, elle contient 84,6g d’eau, 3,5g de protéines, 0,8g de lipides, 7,7g de glucides totaux (dont 1,6g de cellulose) 132mg de calcium, 7,7mg de phosphore 1,3mg de fer, 1,0mg de carotène et 81mg de vitamine c.
La valeur énergétique des feuilles est de 179 kg (ou 43kcal) 100g, elle est comparable à celle des feuilles de célosie et deux fois plus élevées que celles du chou.
La valeur nutritive (par jour de culture et par mètre carré) est respectivement deux fois plus élevée et deux fois plus petite que l’amarante.
Depuis un temps nous avons constaté que la population de Tshikapa aime pratiquer l’agriculture maraichère ; mais elle manque le fertilisant pouvant les permettre à avoir un bon rendement surtout celle qui utilise le chou de chine comme leur culture préférée ; ainsi, nous nous sommes donné le travail de chercher un fertilisant comme engrais organique d’origine végétale à mettre à la disposition de cette dernière pour palier à cette difficulté.
Pour ce faire, nous avons choisi trois engrais organiques d’origine végétale (tithonia divesifolia, chromolaéna odorata et ordure ménagère) ; les paramètres qui ont attirés notre attention sont : le nombre des feuilles, la taille des feuilles, surface foliaire et masse foliaire ou poids de chou.
Le milieu expérimental de notre travail est le couvent des sœurs de la congrégation de cœur immaculé de Marie (CIM) qui se trouve à la paroisse Saint-André. Mais bien avant nous brossons quelques lignes de l’entité administrative où se trouve ce couvent.
Il est dans la Commune de Dibumba II qui a été instituée par le décret – loi n° 44/2003 Mars portant création de la ville de Tshikapa. Faisant ainsi partie de cinq (5) Communes qui composent cette ville. Le fonctionnement de la commune n’a été effectif que quatre (4) mois après le transfert du siège de territoire du Tshikapa à Kamonia le 16 juillet 2003.
La végétation de la commune de Dibumba II est composée des différents arbres fruitiers et non fruitiers, comestibles et surtout aussi des plantes ornementales utilisées pour les clôtures des parcelles.
Quant au site expérimental, la végétation est donc celle de ladite commune. Les cultures colonisatrices de ce site sont quelques légumes feuilles comme les amarantes, le Gombo, morelle etc. Les arbres sont : les avocatiers, les manguiers, les papayers ; en dehors de ces plantes comestibles, il y a aussi le Sida acuta, Elesinaindica, la pelouse.
D’une manière générale, Tshikapa est caractérisé par le climat tropical humide ayant deux saisons bien alternées. Il s’agit de :
- La saison pluvieuse qui théoriquement va du mi–août à mi – mai (8 à 9 mois), la plus longue.
- La saison sèche (petite saison) allant de mi – mai au mi – août de chaque année et sans oublier l’alternance d’une petite saison sèche qui intervient au mi – janvier et mi – février de chaque année (soit 3 à 4 mois). Actuellement avec le réchauffement climatique des perturbations fréquentes sont observées chaque fois (Batubenga, 2012).
Ces deux saisons ont des précipitations qui vont jusqu’à 20 mm sauf pour l’an 2014 (singer n.m : 1970). Cette perturbation atmosphérique s’est beaucoup plus manifestée à cause d’une exploitation irrationnelle de son environnement. Bref l’exploitation contrôlée des essences végétales par la production des braises et l’exploitation agricole.
Cet aspect climatique entant qu’une discipline est considéré par nous comme un corps de concept et des principaux généralement acceptés sur le comportement socioéconomique foncier supposé apte à expliquer les différentes causes de l’appauvrissement des sols agricoles (Tshimanga Dikebele 2015).
D’une manière générale, le sol qui se trouve dans la commune de Dibumba II est sablo-limoneux. Il retient difficilement l’eau à cause de ses caractéristiques beaucoup remarquable (Kamba Shabantu, 2014).
1.2. Méthode et techniques
En ce qui concerne notre étude, nous nous sommes basés sur la méthode expérimentale en formant les dispositifs de bloc complètement randomisé.
Notre méthode a été appuyée par les techniques suivantes :
- Le comptage manuel : ceci nous a permis de compter le nombre des feuilles de choux par plante et sur chaque traitement ;
- Mesurage : cela a consisté à mesurer la taille de plante et surface foliaire de la feuille de choux ;
- La pesée : nous a facilité de peser la masse foliaire ou poids de choux de chaque traitement
1.3. Matériels
Comme notre recherche est faite sur l’agriculture non mécanisée, les matériels qui nous ont servis pour réaliser notre expertise sont : La bêche, la machette, la houe, chariot, arrosoir, la latte, le fil, ou corde, la balance, le sac et le mettre ruban.
Pour réaliser le prélèvement de ces données sur notre culture de recherche qui est le chou de chine ; nous avons utilisé les instruments suivants :
- Le mètre ruban : nous a servi pour mesurer le paramètre ci à près ; taille de chou, surface foliaire.
- La balance : Etait utilisée pour peser le poids de chou ou la masse foliaire.
- Le carnet et stylo bleu : pour mettre par écrit les différentes données ; taille, surface foliaire, poids ou masse foliaire….
- Sac vide : qui a servit de mettre le chou en bouquet pour peser.
1.4. Echantillon
Pour faire partir de l’échantillon, le sujet doit répondre aux critères ci-dessous :
- Que la plantule de chou ait bénéficié le traitement prévu
- La durée de traitement doit être de 3mois
- La plantule de chou doit provenir de notre germoir
A été exclu dans cette étude :
- Toute plantule de chou n’ayant pas bénéficié le traitement prévu
- Chaque plantule n’ayant pas complété la durée végétative de 3 mois dans cette recherche
- La plantule de chou qui ne provient pas de notre germoir
Notre échantillonnage était de quatre plantes de choux récoltées dans chaque plate bande ; et pour chaque traitement ce qui a donné de 64 plantes de choux comme échantillonnage.
A savoir que chaque plate bande avait 20 plantules de choux de chine, ce qui fait un total de 320 plantes.
2. Résultats
Nous avons présenté dans les tableaux ci-dessous les résultats de notre expérimentation sur l’essai de trois engrains organiques d’origine végétales sur la culture de chou de Chine au sein du Couvent de Sœurs du Cœur Immaculé de Marie de Luebo/Saint-André à Tshikapa.
Tableau 1. Données relatives au nombre des feuille
Traitement |
BI |
BII |
BIII |
BIV |
Total |
% |
TO |
13 |
14 |
15 |
14 |
56 |
19 |
T1 |
22 |
22 |
21 |
23 |
88 |
31 |
T2 |
17 |
19 |
20 |
19 |
75 |
26 |
T3 |
17 |
17 |
19 |
16 |
69 |
24 |
Total |
69 |
72 |
75 |
72 |
288 |
100 |
Il ressort de ce tableau que la moyenne des nombres des feuilles par traitement varie entre 14 et 22 feuilles.
Tableau 2. Données de la variance de nombre des feuilles des plantes
Source de variable |
DL |
SCE |
CN |
F. calcule |
F. tabulaire |
|
Traitement Bloc Erreur |
3 3 9 |
132,5 4,5 2063,03 |
44,16 1,5 229,22 |
0,58 |
0,05 |
0,01 |
Total |
15 |
2200.03 |
|
|
|
|
C.V |
84,11 |
Au regard de ces résultats, nous constatons que la différence de F calculé est non significative au seuil de probabilité de 5 % donc le nombre des feuilles est le même à chaque plante.
Tableau 3. Données de surface foliaire de chou de chine
Tment |
I |
II |
III |
IV |
Total |
% |
M |
TO |
309.77 |
242.34 |
288.03 |
263.05 |
1103.19 |
21 |
275.80 |
T1 |
585.70 |
497.53 |
534.95 |
263.05 |
538.16 |
11 |
22.00 |
T2 |
436.15 |
390.57 |
476.33 |
472.25 |
1775.5 |
34 |
443.83 |
T3 |
508.07 |
446.94 |
442.85 |
371.46 |
1769.32 |
34 |
442.33 |
Total |
1839.69 |
1577.38 |
1741.67 |
1641.71 |
5186.17 |
100 |
|
Après avoir effectué le calcul, nous constatons que la moyenne de la surface foliaire du traitement témoins est inferieur par rapport à celle qui ont subie les traitements.
Tableau 4. Données de la variance sur la surface foliaire en cm
Source de la variation |
DL |
SCE |
CM |
F. Calculé |
F. tabulaire |
|
Traitement Bloc Erreur |
3 3 9 |
2744417.412 2611248,982 22286875,27 |
91480,804 870416,3273 2476319,474 |
0,99 |
0,05 |
0,01 |
Total |
15 |
27642541,66 |
|
|
|
|
CV |
370,24 |
Il ressort de l’ANOVA que la valeur de F calculé est inferieur à la valeur de F théorique au seuil de signification de 0,05. Les traitements se sont comportés de la même façon quant à la surface foliaire.
Tableau 5. Données relatives à la taille des feuilles
Traitement |
I |
II
|
III |
IV |
Total |
% |
M |
TO |
13 |
13.8 |
14.6 |
14.4 |
55.8 |
19 |
275.80 |
T1 |
22 |
21.6 |
21 |
23.4 |
88 |
31 |
22.00 |
T2 |
16.5 |
19 |
20.4 |
19.2 |
75.1 |
26 |
443.83 |
T3 |
16.8 |
17 |
19.2 |
16.4 |
69.4 |
24 |
442.33 |
Total |
68.3 |
71.4 |
75.2 |
73.4 |
288,3 |
100 |
18.2 |
Le traitement T1 s’est distingué quant à la taille sur les deux autres qui ont presque la même proportion à l’exception du T0 qui n’a pas été stimulé.
Tableau 6. Données de la variance sur la taille des feuilles
Source de la variation |
DL |
SCE |
CM |
F. Calculé |
F. tabulaire |
|
0,05 |
0,01 |
|||||
Traitement Bloc Erreur |
3 3 3 |
133.69 6.55 10.92 |
44.56 2.18 1.21 |
110.48 |
|
6.99 |
Total |
15 |
151.16 |
- |
|
|
|
CV |
6.04% |
|||||
Ppds |
1.183325 |
La différence est hautement très significative entre les différents traitements car la valeur théorique de F au seuil de la probabilité de 1% est inferieur à la valeur de F calculé pour les traitements :
T1 = 22 a ; T2 = 18,78 ab ; T3 = 17,35 c ; T0 = 13,95 d.
Les moyennes des traitements précédés par la même lettre que ne sont pas statiquement différentes.
Tableau 7. Données de la masse foliaire des traitements
Traitement |
I |
II |
III |
IV |
Total |
% |
M |
TO |
2 |
3.5 |
2.5 |
2.6 |
10.6 |
11 |
2.65 |
T1 |
8 |
7.6 |
6.5 |
9 |
31.1 |
33 |
7.78 |
T2 |
6 |
6 |
6 |
7 |
25 |
27 |
6.25 |
T3 |
7.5 |
6 |
5 |
8 |
26.5 |
29 |
6.25 |
Total |
23.5 |
23.1 |
20 |
26.6 |
93.2 |
100 |
5.83 |
Le traitement un (T1) a donné un rendement supérieur suivi de traitements T3 et T2.
Tableau 8. Données de variance sur rendement de masse foliaire
Source de la variation |
DL |
SCE |
CM |
F. Calculé |
F. tabulaire |
|
0,05 |
0,01 |
|||||
Traitement Bloc Erreur |
3 3 9 |
58.81 9.4 1.4 |
19.60 3.13 0.16 |
367.56 ... |
|
6.99 |
Total |
15 |
69.62 |
- |
|
|
|
CV |
6.86 |
|||||
Ppds |
092 |
Comparaison des moyennes de rendement en masse foliaire (poids) : différence entre les moyennes.
T1 = 7,78 1,15 a T1 = a
T3 = 6,63 T3 = b
T2 = 6,25 0,38 ab T2 = c
ST0 = 2,65 3,6 bc T0 = cd
En dehors du traitement T1 qui a donné un rendement supérieur, le T3 chevauche avec le T2.
Conclusion
Pour aider notre population paysanne, et surtout celle qui manifeste l’intention de se lancer dans les activités agricoles dans les champs ou dans les potagers qui veulent semer le chou de Chine comme leur culture préférée dans l’agriculture maraichère de bien vouloir utiliser les engrais organiques d’origine végétale comme thitonia diversifolia, chromolaena odorata, ordure ménagère étant d’autre qui n’ont pas l’impact négatif sur l’organisme humain et qui ne compromet pas la santé de l’homme.
Concernant le rendement dans les trois engrais ci-haut cités ; un seul (traitement) marque la différence sur la taille et le poids ; c’est le cas de thitonia diversifolia.
Par rapport à la surface foliaire et nombre des feuilles de plante, tout le trois ont donnés presque même rendement ; il s’agit de chromolaena odorata et ordure ménagère y compris thitonia diversifolia pour être complet.
Nous conseillons cette population d’éviter l’utilisation des engrais chimique pour certaines raisons importantes qui sont nombreuses mais d’après nos recherches nous nous limitons à ces trois :
- Engrais chimique coute énormément chère pour certain et le milieu dans lequel ou plus part mène leurs activités agricoles ces derniers sont rare (engrais chimiques) ;
- Deuxième raison, après avoir utilisé les engrais chimiques le sol s’appauvri vite de sa fertilité ;
- Troisième raison, il y a une difficulté de calculer l’expiration de la durée de rémanence dans les cultures qu’on doit mettre à la disposition de la population pour la consommation.
Ainsi, nous espérons que cette recherche retiendra votre attention pour son approfondissement et la correction de certaines erreurs que vous constaterez car c’est un travail scientifique qui doit avoir des imperfections.
Bibliographie
Delannoy, G. (2002). Légumes dans Romain H.
Grubben (1975). Légume ressources végétale de l’Afrique tropicale. Fondation Prota CTA Wagenigeu.
Khoji, D. (2016). Cours de la fertilisation L1 PDC ISP/Tshikapa, inédit.
Krool, R. (1994). Les cultures maraîchères ACCT, CTA. Paris : Maisonneuve et Larose.
Loma (2009). Projet d’aménagement Urbain.
Lukengedia Masolo (2016). Cours de défense des cultures L1 PDC/ISP/ Tshikapa, inédit.
Mumba Djamba (2009). Cours d’amélioration des plantes, UPN-Kinshasa, inédit.
Mumba Djamba (2009). Cours de cultures maraîchères et fruitiers, L2 PDC, UPN- Kinshasa, inédit.
Ongala, P., Dubois, S. et Gricourt, O. (2009). Fiche technique de cultures de quelques légumes africains et tropicaux. Revue troupeau et culture de tropiques.
Risasi (2008). Cours de fertilisation, L1 Agronomie, UPN-Kinshasa, inédit.
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Tshimanga Dikebele (2015). Mode d’exploitation agricole et ses conséquences foncières, TFC en Sciences Agronomiques et Vétérinaires ISP/Tshikapa, inédit.
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