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Les conséquences d’alcoolisme sur la sexualité humaine : connaissance et attitude des consommateurs
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Par
Muambi Kazekele Michel
Résumé
La consommation de boisson alcoolique est un rite parce que c’est amusant. En plus, les consommateurs croient pouvoir améliorer leur vie sexuelle grâce à la consommation d’alcool. Beaucoup de consommateurs affirment que l’alcool leur donne de l’assurance comme c’est le cas chez les personnes timides qui ont du mal à tenir une simple conversation avec les partenaires.
Nous avons cherché à savoir notamment, si les consommateurs d’alcool possèdent des informations sur l’alcoolisme et ses conséquences sur la sexualité. Les données de l’enquête montrent que les consommateurs de l’alcool interrogés ne connaissent pas les risques liés à a consommation d’alcool.
Introduction
Depuis 1974, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a souligné l’importance de la santé sexuelle entant que composante du bien être auquel chaque individu a droit : « l’individu possède des droits fondamentaux, dont à la santé sexuelle et au plaisir, et le pouvoir de contrôler son activité sexuelle et reproductrice en fonction d’une éthique sociale personnelle ».
Schiavi et Paul (1996) rendent compte de diverses études à ce sujet et mettent en évidence « les dysfonctions sexuelles de l'homme alcoolique », donc le lien entre l'alcoolisation chronique et les troubles de la sexualité. La dysfonction sexuelle peut être à la fois cause et conséquence de l'abus d'alcool.
Fahrner (1987) a conduit une étude sur 116 patients masculins alcoolo-dépendants en leur soumettant un questionnaire sur leur fonctionnement sexuel et en dosant la testostérone plasmatique. Tous les sujets ont un taux de testostérone plasmatique dans les limites de la normale. Les trois-quarts des sujets présentent une dysfonction sexuelle et 44% d'entre eux au moins deux dysfonctions simultanément.
Les plus fréquentes sont la perte de la libido (31%) et les troubles de l'érection (22%). On remarque dans cette étude la prévalence relativement élevée de l'éjaculation prématurée (18%) alors que l'éjaculation retardée est rare (8%). 45% des patients rapportent que leurs troubles sexuels apparaissent lors des fortes consommations d'alcool. Seuls 17% d'entre eux font état de dysfonctions durant les périodes d'abstinence ou de faible consommation. Un an après la première investigation, 66% des patients présentent encore des dysfonctions sexuelles ; il n'y a pas de différence significative entre les patients abstinents et ceux qui ont rechuté.
Mutrux (1972) a étudié le comportement sexuel de 80 alcooliques chroniques hospitalisés. Leur anamnèse sexuelle n'est pas sensiblement différente de celle de la population masculine non alcoolique, mais au moment de l'étude, 80% des sujets souffrent d'une inhibition du désir associée à des troubles de l'érection. D'après cet auteur, l'alcoolisme entraine non seulement une involution sexuelle quantitative, avec une réduction des besoins et de la puissance sexuelle mais également une involution sexuelle qualitative qui se définit par le passage d'une sexualité différenciée à des modes d'activité sexuelle de plus en plus polymorphes, fragmentes, éphémères, circonstanciels (hétérosexualité polygamique, hétérosexualité prostitutionnelle, auto sexualité, homosexualité, pédophilie, inceste, voyeurisme, exhibitionnisme, sadisme, viol, ...).
Il aura fallu attendre 1980 pour savoir que la puissance sexuelle n’augmente pas lors de l’absorption d’alcool par le non-alcoolique, mais qu’il y a exaltation du désir (Delort et Estival, 2008).
Dans a présente étude, il sera question de faire une évaluation de connaissance et du degré de conscience de la population consommatrice sur les conséquences de l’alcoolisme sur la sexualité, en se basant sur l’attitude de cette population vis-à-vis de l’alcool.
1. Généralités sur l’alcoolisme et la sexualité humaine
1.1. Définition de l’alcoolisme
Le terme alcoolisme a été utilisé pour la toute première fois en 1850 par le médecin suédois Magnus Huss dans une description clinique et nosographique de l’intoxication éthylique, y voyait les « troubles dus à l’alcool ».
L'Organisation Mondiale de la Santé (OMS), en 1950, s'appuyait sur les aspects socioculturels : « on peut appeler alcoolisme toute absorption d'alcool qui excède la consommation alimentaire traditionnelle et courante ou qui dépasse le cadre des habitudes sociales propres à l'ensemble de la collectivité considérée ».
Les définitions de l'alcoolisme peuvent être distinguées selon le schéma suivant : définitions quantitatives essayant de délimiter un seuil de consommation, définitions globales ou partielles insistant sur le retentissement médical, psychique ou social de la consommation d'alcool et enfin définition d'une part de l'abus d'alcool (ou usage nocif) et d'autre part du syndrome d'alcoolo-dépendance, reflétant une approche unitaire de l'ensemble des pathologies additives.
Le français Pierre Fouquet (1951) considère l'alcoolisme sous l'angle de la dépendance, comme la « perte de la liberté de s'abstenir de boire de l'alcool ». Il décrit le malade alcoolique comme « celui qui a perdu la liberté de s’abstenir de boire ».
1.2. Absorption et métabolisme de l’alcool
Ce point décrit la manière dont l’alcool pénètre, se diffuse dans tout le corps et les organes contribuant à son élimination. La molécule d’alcool est l’éthanol : CH3 – CH20H. Il est ingéré et absorbé par : les muqueuses buccales et œsophagiennes en très petite quantité, ¼ de l’alcool passe dans le sang après assimilation par l’estomac et par la portion initiale de l’intestin grêle en grande quantité. L’intestin grêle est le principal site d’absorption.
La vitesse d’absorption augmente avec vitesse de vidange écoulement gastrique, l’absence de protéines, les graisses ou hydrates de carbone, le faible pourcentage de dilution de l’éthanol et la présence de gaz carbonique (CO2). Plus le passage de l’alcool dans le sang est rapide, plus le taux d’alcool dans le sang augmentera rapidement, A l’inverse, la concentration d’alcool dans le sang augmente plus lentement lorsque le passage par l’estomac est lui aussi ralenti, ce qui est avant tout le cas lorsque l’on a mangé. La digestion de la nourriture dans l’estomac fait que l’alcool y reste lui aussi plus longtemps et arrive ainsi moins vite dans les intestins.
Une première partie de l’alcool absorbée (au maximum 20%) va être métabolisée, le reste se répand dans la circulation sanguine :
- En 45 minutes si le sujet est à jeun,
- En 90 minutes si l’alcool est ingéré au cours d’un repas.
Une fois dans le sang, la distribution de l’éthanol se fait en quelques minutes vers le foie, le cœur, les poumons, les reins, le cerveau, etc. 90% de l’alcool ingéré est éliminé par le foie, le reste est évacué par l’urine, la sueur, l’air expiré ou bien métabolisé. Le foie prend en charge l’essentiel du métabolisme de l’alcool.
L’assimilation de l’alcool par le corps est plus ou moins rapide. Les facteurs suivants accélèrent le passage de l’alcool dans le sang : les boissons alcooliques chaudes, les boissons alcooliques contenant du gaz carbonique, l’alcool et le sucre, l’ingestion rapide, l’estomac vide, les facteurs individuels, comme certaines maladies etc.
Deux voies de métabolisme :
- Dans le cytoplasme cellulaire par la voie de l’alcool déshydrogénase (ADH) ; Dans un premier temps, l’alcool est transformé en acétaldéhyde par l’enzyme alcool déshydrogénase (ADH).
- Par les microsomes du réticulum endoplasmique, l’acétaldéhyde est métabolisé en acétate (= acide acétique) par l’enzyme acétaldéhyde déshydrogénase (ALDH). Ces voies conduisent à la formation d’acétaldéhyde qui est ensuite oxydé en acétate.
1.3. Définition de la sexualité
Étymologiquement, les mots sexualité, sexué et sexe sont dérivés des mots latins sexualis et sexus.
Selon O. Szemerenyi et S. Minora II (1986), l'origine du mot sexus, qui signifie « sexe », est discutée : elle proviendrait soit du latin secare « couper, diviser », soit du latin sequi « accompagner ».
Le romain Sextus Pompeius Festus, dans son De verborum significatione, rapproche sexus du grec hexis « manière d'être, état ».
Néanmoins, quelle que soit l'origine du mot sexus, l'important est que cette racine latine indique la séparation des sexes, qui est la caractéristique première et principale de la reproduction sexuée.
D’après Foucault (1986), Au XXe siècle, si le mot sexualité est conservé, cependant sa signification continue d'évoluer. Initialement, il désignait plutôt l'état sexué, puis il a désigné le comportement sexuel, avant de désigner le plaisir sexuel et tout ce qui est directement lié à ce plaisir.
Pour la majorité des personnes, la définition habituelle de la sexualité est plus vague, et recouvre d'une manière assez lâche tout ce qui a plus ou moins directement ou indirectement rapport avec les organes génitaux, les zones érogènes et le plaisir particulier provenant de ces régions corporelles.
1.4. Conséquences de l’alcool dans la sexualité
Selon Lévy et Garnier (2006), chez la femme, en fonction de la quantité d’alcool consommée, la désinhibition, le désir, le plaisir et l’excitation à engager l’activité sexuelle seraient augmentés avec la consommation de cette substance, mais la lubrification vaginale serait diminuée.
Selon Landry (2008), la chronicité de la prise d’alcool peut provoquer une perte d’attrait sexuel et des impacts négatifs sur les relations interpersonnelles pour les deux sexes. Ça peut amener facilement à des déviations sexuelles citées ci-haut.
D’après Frohmader et al (2010), de façon générale, la consommation d’alcool permet de réduire les inhibitions sociales et d’augmenter les sensations, le désir, l’excitation ainsi que le plaisir sexuel. Toutefois, à fortes doses, les fonctions sexuelles peuvent être altérées. La présence de dysfonctions sexuelles chez l’homme et chez la femme peut favoriser le développement d’un usage chronique d’alcool et augmenter le risque de rechute aux SPA.
Chez l’homme, la consommation d’alcool est parfois utilisée pour palier à des dysfonctions sexuelles, dont l’éjaculation précoce, en raison des effets sur la diminution des capacités érectiles et éjaculatoires. Lorsque la dose augmente, l’excitation, l’érection et l’éjaculation peuvent être sévèrement affectées.
À fortes doses, l’excitation génitale serait atténuée (George et coll., 2011). La motivation sexuelle contribuerait à la consommation d’alcool puisqu’elle diminuerait l’inhibition, augmenterait l’engagement des comportements sexuels de même que la confiance sexuelle et diminuerait la nervosité.
1.5. Consommation d’alcool à moindre risque
Aujourd’hui, les experts s’accordent sur des seuils de consommation pour une minimisation des risques. Ces recommandations codifiées par l’OMS sont exprimées en unités d’alcool : 1 unité = un verre standard, 10g d’alcool par unité ou par verre. (OMS, 2010).
Les recommandations de l’OMS pour une consommation à moindre risque se présentent comme suit:
Consommation régulière :
- Femmes : pas plus de 2 – 3 unités d’alcool en moyenne par jour (moins de 14/semaine).
- Hommes : pas plus de 3 – 4 unités d’alcool en moyenne par jour (moins de 21/semaines).
- Au moins une fois/semaine sans boisson alcoolique.
Consommation occasionnelle :
- Pas plus de 4 unités d’alcool en une seule occasion.
Pour les raisons évoquées, il n’est pas simple de donner des directives claires : qui doit renoncer à l’alcool et dans quelle situation, qui doit boire combien ? Certaines personnes développent des problèmes liés à l’alcool plus rapidement que d’autres. De même que les individus, dans les diverses phases de leur vie, réagissent différemment à l’alcool.
Les femmes y sont plus sensibles que les hommes. Si une femme et un homme avec le même poids corporel boivent une quantité égale d’alcool, la femme en ressentira plus rapidement les effets gênants.
Les recommandations suivantes ne constituent pas une incitation à boire, mais des valeurs limites :
- 3 verres standard par jour au maximum pour les hommes et 1 à 2 au maximum pour les femmes est une consommation peu risquée.
- Pour des raisons de santé, il est conseillé d’intercaler au moins 2 jours par semaine sans alcool.
- Les boissons alcoolisées devraient être consommées de préférence au cours d’un repas.
D’une manière générale, il est recommandé de consommer les boissons alcoolisées avec prudence et modération.
Par verre standard, nous entendons la quantité d’alcool normalement servie dans la restauration.
2. Méthodologie du travail
2.1. Milieu d’étude
Le champ d’investigation est la commune de Dibumba I, l’une parmi les cinq communes qui composent la ville de Tshikapa dans la Province du Kasaï. C’est une entité territoriale décentralisée avec une population estimée à 354.661 habitants.
La commune de Dibumba I est bornée : Au Nord : Par le ruisseau Kele et la rivière Kasaï ; Au Sud : Par la route nationale N°1 à partir du pont Tshikapa jusqu’à Kibulungu ; A l’Est : Par la rivière Tshikapa ; A l’Ouest : Par le groupement de Bakwa Lemba (Kibulungu)
Elle est subdivisée en sept quartiers administratifs et deux groupements incorporés. Le sol est polymorphe, argileux ou sablo-argileux par endroit. Le sous-sol renferme d’énormes richesses minéralogiques du gisement de diamant. Sa végétation est constituée des savanes boisées et herbeuses ainsi que de la forêt, galerie le long des cours d’eau de dispersion pour les activités agricoles.
Il faut compter de nombreuses sources, ruisseaux dont ces cours d’eau renferment surtout du diamant de joaillerie qui est le principal minerai de la commune de Dibumba I.
Il est à signaler que le climat de la commune de Dibumba I est du type tropical humide caractérisé par l’alternance de deux saisons : une saison sèche qui va de mi-mai à la mi-août et une saison des pluies allant de mi-août à la mi-mai. Les températures restent toujours élevées, la moyenne annuelle étant largement supérieure à 20°C.
Les précipitations de la commune de Dibumba I atteignent à 1266,5 mm dont les hauteurs les plus élevées sont enregistrées aux mois de mars, novembre et décembre. Tandis que les basses correspondent aux mois secs qui sont mai, juin, juillet et août.
2.2. Population et échantillon
2.3. Méthode et technique
Le questionnaire d’enquête, qui est un ensemble des questions bien cohérentes et structurées qui permettent d’avoir une appréciation sur un fait à une situation.
Tableau n°1. Type d’alcool consommé
Type d’alcool |
fréquence |
Pourcentage |
Alcool éthylique |
78 |
65 |
Vin |
6 |
5 |
Pastis |
6 |
5 |
Whisky |
14 |
11,6 |
Autres |
16 |
14,1 |
Total |
120 |
100 |
Le Tableau I révèle que la fréquence de la consommation d’alcool éthylique est très élevée, et ce type d’alcool reste le plus consommé par la population (78 sujets sur les 120 interrogés soit une proportion de 65%). Les autres boissons alcooliques consommées suivent avec une faible consommation : le whisky avec 11,6%, le vin et le pastis 5% à chacun.
Tableau n°2. Quantité consommée
Quantité |
fréquence |
% |
1 verre standard |
22 |
18,3 |
Demi-verre |
56 |
46,6 |
Quart de verre |
42 |
35 |
Total |
120 |
100 |
Il ressort dans ce tableau que 56 sujets soit 46,6% consomment ½ verre standard ; 42 soit 35% consomment ¼ de verre et 18,3% atteignent la consommation d’un verre ou plus.
Tableau n°3. La jouissance sexuelle après la consommation d’alcool
Avis du sujet |
fréquence |
% |
Oui |
96 |
80 |
Non |
24 |
20 |
Total |
120 |
100 |
Le Tableau 3 renseigne que la majorité de la population enquêtée soit 80% contre 20% affirme jouir de leur sexualité après avoir bu de l’alcool.
Tableau n°4. Réaction du partenaire sexuel face à la consommation d’alcool
Réaction |
fréquence |
% |
Bonne |
30 |
25 |
Mauvaise humeur |
47 |
39,1 |
Inquiétude |
43 |
35,8 |
Total |
120 |
100 |
Dans ce tableau, il ressort que chez 39,1% de consommateurs d’alcool, les partenaires affichent une mauvaise humeur face à la consomation d’alcool et chez 35%, les partenaires sexuels sont inquiets. 25% seulement de partenaires ne posent aucun problème.
Tableau n°5. La performance sexuelle après la consommation de l’alcool
Performance |
fréquence |
% |
Augmente |
59 |
49,1 |
Diminue |
39 |
32,5 |
La même |
22 |
18,3 |
Total |
120 |
100 |
Ce tableau renseigne que chez 49,1% de sujets, la prise de l’alcool augmente la performance sexuelle, alors que 32,5% de consommateurs affirment le contraire, c’est-à-dire la diminution de la performance sexuelle.
Tableau n°6. Information sur les conséquences néfastes de l’alcool sur la sexualité.
Réaction |
fréquence |
% |
Oui |
35 |
29,1 |
Non |
85 |
70,8 |
Total |
120 |
100% |
Dans ce tableau, il se dégage que la population enquêtée souffre de manque d’information sur les conséquences néfastes de l’alcool sur la sexualité : 71% de consommateurs n’ont pas d’informations contre 30% seulement qui possèdent l’information concernant les conséquences de l’alcool sur la sexualité.
Conclusion
Tant de mariage sont rompus à cause des difficultés d’ordre sexuel. Les enfants dont les parents ont divorcé sont victimes de beaucoup d’abus. Rechercher les facteurs à la base des difficultés sexuelles dans les couples c’est contribuer au bien-être de ces enfants.
L’alcool est cité parmi les facteurs de la baisse de la libido. Compris dans ce sens, un postulat a été formulé : « la consommation de l’alcool a des conséquences négatives sur la santé sexuelle des couples ».
Les résultats de l’enquête menée auprès de quelques consommateurs ne confirment pas cette hypothèse, la majorité des sujets ayant affirmé qu’avec l’alcool, leur performance sexuelle s’ameliore.
Il y a lieu de signaler que la grande majorité de sujets interrogés ne possèdent pas des informations sur l’alcool et ses conséquences sur la santé en général, et la santé sexuelle en particulier. Cette ignorance peut expliquer le fait que ces sujets apprécient les bienfaits de l’alcool car ils ne voient que ce qu’ils veulent voir et ne sentent que ce qu’ils veulent sentir.
En attendant d’autres études qui prendront en compte certaines variables comme le niveau d’étude et qui utiliseront des échantillons beaiucoup plusd grands, nous recommandons les quelques mesures psychopédagogiques suivantes :
- Que le programme de biologie générale comporte aussi un chapitre sur l’alcool et ses effets sur la santé de façon que les élèves apprennent à prendre des décisions responsables en matière de la consommation d’alcool ;
- Que le ministère de la santé vulgarise les informations sur les dangers de l’alcoolisme par des conférences éducatives, par des médias audiovisuels et par des affiches publicitaires ;
- Que le gouvernement accorde des crédits aux cultivateurs et organise des marchés d’achat et de vente des produits vivriers au prix abordable de façon à favoriser l’agriculture et décourager la production de l’alcool éthylique…
Bibliographie
Abraham K. (1908). Relations psychologiques entre l'alcoolisme et la sexualité, Œuvres complètes. T. 1, Paris : Payot.
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Barrucand D., Aubin H. J. (1991). Alcool et sexualité, in Revue du Praticien.
Brune E. (2012). La Révolution du plaisir féminin : sexualité et orgasme. Paris : éd. Odile Jacob.
Brune, E. et Ferroul Y. (2010). Le Secret des femmes, voyage au cœur du plaisir et de la jouissance. Paris : éd. Odile Jacob.
Davidson C., Bourrit F., Nielsen P. (1989). Alcool et sexualité, in Revue de l'Alcoolisme.
De Carufel F. (2009). L’éjaculation prématurée : compréhension et traitement par la théorie sexofonctionnelle. Bruxelles : Presse Universitaire de Louvain.
Labo sexo (2016). Bonnes nouvelles du plaisir féminin. Paris : Odile Jacob.
Liévin V. (2012). Sexualité : Etapes importantes dans un couple. Paris : Gerds.
Lopes P., Poudat F.-X. (2013). Manuel de sexologie. Elsevier-Masson.
Lopès, P., Poudat, F. (2008). Manuel de sexologie. Elsevier : Masson.
Poudat, F., Aubin S. (2011). Sexualité, Couple et TCC – les difficultés sexuelles. Elsevier : Masson.
Salono C. et De Sutter P. (2011). La Mécanique sexuelle des hommes. Paris : éd. Robert Laffont.
Stéphane H. et Lentin J.P. (2005). Drogues et cerveau. Paris : édition du Panama.
Zwang G. (2004). Zone érogène, in Brenot P. (éd). L’esprit du Temps.
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